Lancée en 2019, la zone africaine de libre-échange devait entrer en vigueur en juillet 2020. Selon Frédéric Chapuis, elle représente pour ce continent l’occasion de stimuler les échanges économiques intra-africains et de réduire l’extrême pauvreté.
L’espoir dans la zone africaine de libre-échange (Zlecaf) est fondée, notamment, sur l’abolition des taxes douanières entre pays adhérents et le désir de voir les échanges intracontinentaux augmenter de 60 % d’ici 2022 et le PIB des pays de 3 %, selon le rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced).
L’intégralité de la tribune de Frédéric Chapuis dans Les Echos est à lire ici.